Le Président de la République, Son Excellence
Ismail Omar Guelleh, continue, dans le contexte actuel de début du mois béni de ramadan, de recevoir les meilleurs vœux, de ses homologues Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays arabes et musulmans.
Le Roi du Royaume d’Arabie Saoudite et Gardien des Deux Lieux Saints, Sa Majesté
Salman Bin Abdoulaziz Al Saoud est le dernier des dirigeants arabes et musulmans à avoir fait parvenir aujourd’hui, mercredi, ses meilleurs vœux au Chef de l’Etat djiboutien.
Dans son télégramme, le Roi Salman Bin Abdoulaziz Al Saoud a souhaité «
santé et bonheur » au Président de la République ainsi que
« davantage de développement, de prospérité et d’épanouissement au peuple djiboutien ».
Le Gardien des Deux Lieux Saints qui s’est également réjoui de la qualité des relations d’amitié et de coopération qui prévalent entre les deux pays et les deux peuples a réitéré sa volonté de raffermir davantage ces liens privilégiés.
Ces vœux du Roi du Royaume d’Arabie saoudite au Président Guelleh et au peuple djiboutien succèdent à ceux de nombreux dirigeants du monde arabe et musulman, parmi lesquels notamment, l’Emir du Qatar,
Cheick Tamin Bin Hamad Al-Thani, le Roi de Bahreïn, Sa Majesté
Hamad Bin Issa Al-Khalifa, le Roi du Maroc, Sa Majesté
Mohamed VI et le Président des Emirats Arabes Unis,
Khalifa Bin Zahed Al Nahyan.
A noter que le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, avait pour sa part aussi, à la veille du ramadan, adressé ses
« meilleurs vœux » à chacun de ses homologues Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays frères et amis arabes et musulmans.
Il avait souhaité à chacun d’entre eux des
« vœux de santé, de bonheur et de succès dans la conduite des affaires de leurs pays et, davantage de développement, de prospérité et d’épanouissement à leurs peuples respectifs.»
Le Président Guelleh avait également saisi l’occasion de ces télégrammes pour former «
l’espoir d’une décrue rapide des conflits engagés dans le monde sur le fondement de principe religieux »
«
Puisse Dieu accepter notre prière de voir l’Humanité souscrire davantage à l’idée selon laquelle les différences de culture sont davantage de source de richesse que de source de conflit » avait écrit en substance le Président de la République.