A l’avènement du Nouvel An Musulman, le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a exprimé ses meilleurs vœux de « santé, de bonheur et d’épanouissement » à tous ses compatriotes.
Il a formé l’espoir que « l’année musulmane naissante soit source plus grande quiétude et de plus grande sérénité pour chacun de nos foyers, dans leurs quêtes légitimes de faire vivre leurs enfants dans la dignité et la suffisance. »
Il mit d’ailleurs à profit son vœu de Nouvel An Musulman à la nation pour assurer que « tout sera mis en œuvre au niveau de l’Etat et du Gouvernement pour redoubler d’efforts, de cadence de travail et de créativité en vue d’une plus grande insertion des couches les plus modestes de notre société dans le circuit économique et financier de notre pays ».
Comme à l’accoutumée aussi, à l’occasion de l’avènement du Nouvel An Musulman, des messages de vœux émanant de la part de Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays frères et amis musulmans et souhaitant tous, « santé et bonheur » au Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, ainsi que davantage de « développement et de prospérité au Peuple djiboutien », continuent d’affluer à la Présidence de la République.
« Puisse Dieu Tout Puissant assister la nation sœur djiboutienne dans ses efforts visant à accéder au développement durable », ont écrit certains des dirigeants musulmans qui ont fait parvenir leurs messages de vœux au Président Guelleh.
« Puisse Dieu raffermir davantage Djibouti dans ses penchants constants à la solidarité et à la cohésion qui sont autant d’attributs importants dans la religion et la culture musulmane », ont souhaité d’autres des leaders musulmans ayant transmis des messages de meilleurs voeux au Chef de l’Etat djiboutien, à l’occasion du Nouvel An musulman.
A noter que le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, avait lui aussi de son côté, à l’approche du Nouvel An Musulman, adressé des messages respectifs de meilleurs vœux à ses homologues du monde musulman.
A tous ces leaders et à leurs peuples respectifs, le Président Guelleh avait formé « l’espoir davantage de bien-être, de progrès économique et social et d’épanouissement ».
Il avait formé aussi l’espoir de « l’évolution de notre planète en un espace de tolérance absolue où les disparités, notamment de conviction et de culture, soient perçues comme sources de richesses, de créativité et non comme sources de tension ».