Les messages de meilleurs vœux d’Aïd Al Adha émanant de la part de Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays arabes et musulmans, notamment les dirigeants des Pays du Golfe avec à leur tête le Roi du Royaume d’Arabie Saoudite, Sa Majesté Salman Bin Abdoulaziz Al Saoud, continuent d’affluer à la Présidence de la République.
Dans son message, le Gardien des Deux Lieux Saints forme des vœux de « santé et de bonheur » au Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh ainsi que « davantage de progrès, de prospérité et d’épanouissement au Peuple djiboutien ».
« Puisse Dieu Tout Puissant continuer d’entourer la République de Djibouti de sa baraka et bénédiction afin qu’elle poursuive en toute quiétude sa marche dans la voie du développement durable », a souhaité le Roi du Royaume frère saoudien.
Des messages similaires émanant de la part de Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays africains et asiatiques parviennent également au Président de la République.
Certains d’entre ces leaders forment l’espoir de voir « la République de Djibouti demeurer irréversiblement dans ce qui la caractérise le plus dans cette partie du monde, en l’occurrence un havre de paix, d’entente et de concorde entre tous ses concitoyens ».
Il est à rappeler que le Président Ismail Omar Guelleh avait de son côté aussi, à l’occasion de l’aïd Al Adha, adressé de messages de meilleurs vœux à ses homologues Chefs d’Etat et de Gouvernement musulmans du monde entier.
Outre des « vœux de succès et de réussite » à chacun de ces dirigeants, il avait également souhaité « davantage de bien-être et d’épanouissement à leurs peuples respectifs ».
A noter par ailleurs que, dans ses messages aux dirigeants musulmans du monde entier, il avait formé l’espoir de la « réalisation d’une plus grande détente et rapprochement entre les différentes civilisations culturelles et religieuses du monde ».
« Puisse Dieu le Miséricorde accepter notre prière de voir le monde évoluer en un espace où les disparités sont perçues non comme des facteurs de tension mais comme des sources positives de complémentarité », avait-il écrit en substance.